Sans dialogue mais avec une excellente conception sonore totalement intégrée à l'histoire, ce film d'animation présente un futur où chaque être est façonné pour s'adapter à un monde composé de lignes droites et d'angles. Comme une chirurgie plastique cauchemardesque qui tourne mal, tout dans La otra forma est mis au carré pour s'adapter à l'ordre social dominant : visages, corps, chaussures - mais aussi feux d'artifice, feux de circulation, chiffres et même nuages. Le héros, Pedro Prensa, vit littéralement avec une presse qui lui écrase la tête jusqu'à ce qu'un jour, il découvre accidentellement que la réalité n'est peut-être pas si plate après tout.
L'histoire est centrée sur un jeune garçon qui trouve refuge dans un monde fantastique pour fuir la dure réalité qu'il affronte. Il est un élève harcelé quotidiennement par ses camarades de classe et sa mère dépérit du cancer. Son monde imaginaire est truffé de monstres et de contes de fées modernes qui traitent du courage, du deuil et de la foi
1900. De Montmartre à Belleville, Paris est aux mains de gangs ultra violents qui font régner la terreur sur la capitale : les Apaches. Prête à tout pour venger la mort de son frère, une jeune femme intègre un gang. Mais plus elle se rapproche de l’homme qu’elle veut éliminer, plus elle est fascinée par ce dernier.
A la mort de leur père, Guillaume, policier ambitieux, offre en gérance le bowling dont il vient d'hériter à son demi-frère marginal, Armand. L'héritage est maudit et va plonger les deux hommes dans un gouffre de violence…
Julián (Alberto San Juan), un divorcé de 50 ans, utilise la fameuse application pour partager sa voiture avec des inconnus et, surtout, avec quelqu'un qui ne l'est plus : Lorena (Blanca Suárez), une jeune femme qui voyage souvent avec lui. à Madrid. Pendant des mois, il a eu un siège fixe dans sa voiture et dernièrement aussi dans son cœur. Julián veut profiter du voyage pour s'ouvrir à elle, mais par erreur lors du choix du reste des occupants (Ernesto Alterio et Rubén Cortada), il inclut un passager (peut-être l'individu le plus insupportable au monde) qui provoquera une changement radical dans le cours des événements.
Maria et Jesus, jeunes parents et vieux couple, exacerbent leurs tensions conjugales autour de la question d’acheter, ou non, une table basse hors de prix. L’affaire est finalement tranchée, le meuble trône finalement dans le domicile. Ne lui manque qu’une vis.
Après avoir échappé à une violente attaque dans laquelle elle a perdu son père, Becky tente de reconstruire sa vie. Elle trouve refuge chez Elena, une femme âgée et âme sœur. Lorsqu'un gang sous le nom "Noble Men" fait irruption dans leur maison, les attaque et emmène son chien bien-aimé, Diego, avec eux, Becky décide de se venger sanglante.
Le cadeau de fin d'études d'Audra est la maison de ses rêves, mais cela devient vite un cauchemar vivant lorsque des invités non invités viennent à sa fête. Et ils ne sont pas très subtils sur le fait qu'ils n'approuvent pas la nouvelle propriétaire de la maison.
Après qu'une controverse publique l'ait laissé en disgrâce et démonétisé, une personnalité Internet échouée tente de reconquérir ses abonnés en se diffusant en direct en passant une nuit seul dans une maison hantée abandonnée. Lorsqu'il énerve accidentellement un esprit vengeur, son grand événement de retour devient un combat en temps réel pour sa vie (et sa pertinence sociale) alors qu'il affronte l'esprit sinistre de la maison et ses puissants partisans.
La critique de Nicolas Schaack 
